Hi-Rez Studios procède à des licenciements pour faire face à une situation difficile, en raison de Smite 2.

Hi-Rez Studios et la nouvelle vague de licenciements

Hi-Rez Studios a récemment annoncé une série de licenciements dans le cadre d’une « réorganisation interne et d’une re-priorisation » de ses objectifs. Cette décision touche tous les départements de cet éditeur de jeux, actuellement focalisé sur Smite 2 ainsi que sur le maintien d’autres services en direct.

Stewart Chisam, le PDG de Hi-Rez, n’a pas divulgué le nombre exact de personnes concernées par ces départs. Néanmoins, il a mentionné des réductions d’effectifs dans les secteurs de l’édition et du marketing. Les divisions Evil Mojo, G&A et Titan Forge sont également affectées, de même que les développeurs travaillant sur des « contenus cosmétiques et des fonctionnalités du système ».

Les défis à relever

Chisam a mis en avant le positionnement de Smite 2 comme l’un des défis à surmonter pour assurer sa durabilité à long terme. De toute évidence, le jeu ne répond pas aux attentes initiales. Les licenciements ont suivi une révision en profondeur des stratégies d’entreprise.

Responsabilité et leadership

Le dirigeant a exprimé son soutien aux employés licenciés : « Les laisser partir a été une décision déchirante, qui reflète un échec de ma part en tant que leader et pour lequel je prends l’entière responsabilité. Ce sont toutes des personnes talentueuses qui ont apporté une contribution positive à l’entreprise; personne ne devrait considérer cela comme un échec personnel. Je leur adresse mes plus sincères remerciements pour leur contribution à l’entreprise et leur rôle dans le divertissement de millions de joueurs. »

Un avenir incertain mais prometteur

En résumé, la responsabilité repose sur lui, mais les conséquences pèsent sur eux. Chisam demeure convaincu que ces changements renforceront Hi-Rez, comme il l’avait déjà affirmé en juin 2023 lors de précédentes suppressions de postes. Que dire de plus ? Espérons que Hi-Rez saura rebondir et éviter d’autres licenciements. En attendant, l’avenir de l’entreprise reste un sujet de spéculation et de débat dans le secteur du jeu vidéo.